BOUCHERIES NIVERNAISES
Logiciel Akanea Agro
« Sans l’ERP AKANEA, l’identification et le traçage sont impossibles. »
Alain HIEBEL, Directeur Financier & DRH du Groupe Nivernaise
INFORMATIONS PRATIQUES
Client : Boucheries Nivernaises
Activité : Vente de viande sur le marché de la restauration
Chiffre d’affaires : 55 millions d’€/an
Localisation : Paris 8ème
Effectif : 235 salariés
Vous êtes équipé depuis de nombreuses années de la solution AKANEA. Pouvez-vous nous donner les raisons pour lesquelles vous avez souhaité à l’origine vous équiper d’une solution métier ?
Alain Hiebel : Nous n’avions pas le choix. Après la crise de la vache folle, la traçabilité dans la viande est devenue une obligation.
Soit on s’équipait d’un solution métier afin d’être en conformité avec les nouvelles réglementations et législations, soit c’était la mort de l’entreprise. Il n’y a pas eu de débat, nous étions obligés de nous équiper d’un ERP métier. D’ailleurs, à ce moment là, la notion de traçabilité était complètement inconnue.
En plus de la traçabilité qui nous a permis de mieux travailler et de mieux gérer, il a fallu poursuivre le développement et suivre les exigences des clients, restaurateurs et chaînes de restaurations. Nous avons dû aller plus loin que la traçabilité en nous dirigeant vers des domaines comme celui de l’EDI afin de pouvoir piloter des activités de plus en plus compliquées à diriger.
Qu’est-ce que l’ERP a apporté ou fiabilisé dans votre traçabilité au quotidien ?
A. H. : Tout d’abord, il faut savoir que nous ne sommes pas des grossistes. Notre métier est d’acheter aux grossistes, aux abattoirs ou aux producteurs, un produit, de le transformer pour le vendre à la restauration hors foyer. Nous achetons une multitude de produits qui rentrent avec un numéro de lot qui vont subir plusieurs transformations en fonction de la demande du client.
L’obligation, c’est que le lot de départ puisse être identifié à l’arrivée. Si un de nos clients a un contrôle, nous devons être en mesure de dire à quel lot de départ appartient le produit contrôlé.
« Sans l’ERP AKANEA, l’identification et le traçage sont impossibles. »
Nous avons mis en place des EDI pour certains de vos grands comptes, que pouvez-vous nous dire à ce propos ?
A. H. : Dans la restauration, il y a beaucoup d’indépendants qui ne sont pas encore prêts et organisés pour passer le cap du papier en passant à l’EDI. Néanmoins nous travaillons avec des groupes du secteur de la restauration importants tels que HILTON, DISNEY ou encore MARRIOTT.
Ces groupes sont à l’envers de la restauration traditionnelle et travaillent uniquement avec des EDI. Ils ont chacun des EDI spécifiques, donc si nous ne nous adaptons pas à leurs demandes, nous ne les servons pas. L’EDI nous permet donc de travailler avec cette catégorie de la filière de la restauration.
« Nous avons grâce à l’ERP AKANEA mis en place des EDI répondant aux exigences de nos clients. »
Cela pourrait à l’avenir, générer chez le client un paiement automatique.
Il existe pléthore d’applications futures qui je pense, nous permettraient de gagner à tout points de vu.
Comment l’ERP Konnect’Agro vous permet de piloter votre activité au quotidien ?
A. H. : La plus grosse problématique dans le pilotage, c’est le poste client. Pourquoi ?
Lorsqu’on sert la restauration c’est 1 à 2 factures par jour et par client, imaginez que vous ayez 5000 clients, la charge de facture est colossale. L’autre problématique concerne le règlement de ces factures. Le secteur de la restauration est un secteur à risque, les statistiques montrent que c’est dans ce secteur qu’il y a le plus d’impayés. En tenant compte de ce risque, nous nous devons de suivre les paiements de nos clients de manière très pointue et pour ce faire nous avons besoin de nombreux éléments.
À travers le logiciel Konnect’Agro, on peut gérer nos encours clients, le suivi des clients et leurs règlements. Tout un système qui permet à nos collaborateurs et collaboratrices de relancer le client, le plus rapidement possible. Car dans ce domaine, plus on agit vite plus nos chances de succès sont grandes.
« Ces outils d’aide au pilotage sont vitaux et très importants pour une société comme nous. »
Ensuite, nous avons évidement d’autres besoins, comme l’intégration des ventes et des achats et autres tableaux de pilotage qui me permettent de sortir des comptes d’exploitations prévisionnels mensuels. Mais le plus important est la gestion client.